jeudi 22 août 2013

Bussang...le théâtre du peuple...le rituel vaudou de la fin de l'été

Une fois encore, une fois de plus c'est avec une équipe fidèle au rendez-vous vosgien que je me suis rendu au "théâtre national de Bussang".
Depuis ma première visite, alors que François Rancillac, était le metteur en scène  associé; je me débrouille pour caler une virée estivale à Bussang.

Le look du festivalier qu'il va bientôt falloir abandonner
pour la rentrée


Je ne reviendrai pas sur le lieu, l'atmosphère. J'ai déjà réalisé cette description sur mon blog . Cette année cependant j'ai eu le plaisir d'y retrouver un de mes anciens élèves qui appartient à l'équipe de bénévoles.

Que dire des deux pièces que nous avons vues ?
Si "la jeune fille folle de son âme  avait des qualités esthétiques indéniables; l'argument et le texte était à mon sens sans intérêt...Aussi niaiseux que du Marivaux dans une ambiance de film porno SM des années 70!
Quant au cabaret du soir " et si nos pas nous portent" il n'a trouvé grâce ni à mes yeux ni à ceux de mes amis dont le parcours artistiques n'est pas contestable.
Un petit cru 2013 mais qu'importe puisque chaque année on y retourne l'esprit libre et curieux d'une découverte...ou pas!

1 commentaire:

Anonyme a dit…

ANDRE BENICHOU (metteur en scène) disait : "il n y pas de théâtre amateur ou de théâtre professionnel il n 'y a que du bon ou du mauvais théâtre".
Au même titre, je pense qu'il n y pas de culture de droite ou de culture de gauche, il y a des hommes ouverts sur toutes les cultures et respectueux du travail et de la démarche artistique ou pas.
Il faut ouvrir les yeux et les oreilles? se laisser envahir, permettre, oser, sans autre calcul que celui de ravir, surprendre, éclairer un public.
Toute autre "ambition politique culturelle" est veine !
Claude MONNOYEUR