La gestion d'une collectivité (il faut relire les belles pages de Léon Blum sur la conquête du
pouvoir et l'exercice du pouvoir...) est aussi faite du suivi quotidien des "petites choses"...
La municipalité (j'entends les membres du bureau municipal disposant d'une délégation et qui touchent une indemnité...22 élus/26 de la majorité) doit s'être mise en congé pour ne pas voir ce que tout le monde constate...
1° l'état de la fontaine de la paix ne s'améliore pas
Jour après jour le bassin de la fontaine adossée à la collégiale Notre Dame, redevenue un lieu fort du tourisme dolois, se transforme un peu plus en un cloaque répugnant.
Deux photos prises à deux semaines d'intervalle tendent à le prouver
2° les tags toujours "au top"
Si, suite à un article ,des tags ont été effectivement nettoyés, force est de constater que le célèbre "sid" a frappé un peu partout et je ne comprends pas que des regards avisés autre que le mien ne portent une attention particulière à ce phénomène de dégradation très mal vécu par la population et qui une fois encore porte préjudice à l'ambition touristique portée par nos édiles.
Les échanges entre taggeurs (cf ma photo prise près de la gare Routière) tendent à prouver qu'il y a là un problème de tension dont les murs de Dole risquent d'être les victimes.
3° le jury des villes et villages fleuris : la signalisation "éteinte"
J'ai lu de bon matin que le jury des villes et villages fleuris était passé dans notre ville ; je ne sais ce que sera le délibéré , ce que je sais c'est que la ville ne peut en tirer aucun bénéfice puisque "les fleurs" qui garnissent les panneaux d'entrées de ville pour signaler aux touristes la qualité florale de la ville sont totalement effacées...passées au soleil lorsque l'on arrive de Besançon.
4° le caractère dépassé de certaines informations municipales
On doit se réjouir de la très belle campagne de communication qui a accompagné le festival du film de jeunesse de la MJC .Mais est-ce une raison pour que les "Kakémonos" et quelques affiches soient encore en place en ville, un mois après la fin du festival ? N'-y-a-t-il pas des événements à venir à valoriser? La chose est coutumière à tel point que l'an dernier, une" porte du cours" dans la presse locale se faisait l'écho du courrier d'un lecteur qui déplorait le caractère inamovible et dépassé de je ne sais plus quelle affiche dans une "sucette" devant chez lui...
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