mercredi 27 janvier 2010

"Comme la plume au vent" Rigoletto


La lecture de la presse locale ne m'a pas laissé indifférent ces dernières semaines . On y a lu des analyses pertinentes...des interviews étonnantes...des propos contradictoires...ici le succès revendiqué du festival de la chanson...là bas le requiem de cet évènement...une illustration du management participatif :le transfert de la médiathèque annoncée par voie de presse...(vais en avoir des choses à écrire moi sur la médiathèque...)

On n'a pas lu grand chose sur le départ du "coordinateur de l'action culturelle municipale" resté 8 mois et dont les acteurs culturels dolois semblaient se louer.
Il semblerait que les murmures débordent les murs...qui ne se souvient de ce propos à l'encontre de la barrière des fermiers généraux de Paris en 1789 "le mur murant Paris fait murmurer Paris"
J'ai assisté aux voeux de notre député J Marie Sermier . Beaucoup de monde à la salle des fêtes de Dole. C'est bien.

En attendant moi je lis...j'avais beaucoup trop de retard...notamment sur quelques grands classiques.
Un beau moment à Dijon à l'auditorium pour découvrir un Rigoletto magnifique . Je n'étais pas le seul dolois d'ailleurs puisque j'y croisais une bonne partie des élèves d'italien de mon amie monique Huot Marchand.
Je n'ai pas résisté à Avatar en 3D...j'ai le sentiment d'avoir vécu ce que mes grands parents me racontèrent avec le passage du muet au parlant. Cette nouvelle technologie va emporter de nombreuses salles qui ne pourront s'équiper demain ou après demain.
La visite de l'exposition sur 30 ans d'acquisitions d'art contemporain au musée de Dole en compagnie du sénateur gilbert Barbier a été un vrai plaisir. Le sentiment quelque part du devoir accompli, de ne pas avoir exercé un mandat pour rien, avoir construit. La question n'est pas de laisser une trace, des traces personnelles mais d'avoir construit pour une collectivité . Jai regretté l'absence à nos cotés d'Yves-marie Lehmann qui a été, avec le soutien de Gilbert Barbier, et aux cotés du conservateur d'alors françois Cheval, le moteur politique du tournant pris par le musée de Dole en faveur de l'art contemporain.
Je n'ai pas aimé le spectacle proposé par Scènes du jura "le grand C"...pourquoi? je m'attendais sans doute à autre chose. Le ressenti est une chose trop personnelle et je suis sur que beaucoup des très nombreux spectateurs ont été pour leur part, sous le charme.
Découverte du film sur Gainsbourg à Dole...super...je sors souriant de ce film un peu noir!

Je prépare ma deuxième partie de saison pour les spectacles parisiens, les expositions, encore un opéra à voir à Dijon...une exposition aussi au musée Magnin...déjà les festivals pointent leurs nez...Bourges ouvrira mon Printemps... après? il y aura l'été...Après?Il faudra que je fasse des choix...qui sait peut être avant , parfois l'occasion fait le larron.

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